Le sentiment cinéphilique s’accompagne volontiers de paradoxes temporels. Au cours de mon adolescence, à la fin des années 1970, je découvre avec émerveillement les films de Glauber Rocha, Chantal Akerman, Shūji Terayama, Carmelo Bene, Serguei Paradjanov, Marguerite Duras, Werner Schroeter, Raúl Ruiz, Hans Jürgen Syberberg. Cinéma marqué par un esprit de rupture, formel et politique, […]